De toute façon la créativité japonaise est noyée par ce désir de facilité (tout comme les émissions tv), où on voit que quelque chose a marché du tonnerre (ex: SAO) puis derrière on remarque d'un autre studio tente de faire un simili moins bien moins cher avec plus de facilité car repompé un peu sur son grand frère mais pour tant il marche aussi même si il réitère pas le succés critique de son grand frère bah derrière mode facilité les producteurs passent en mode production * 100 à la pelle. Malheureusement comme une grande partie des spectateurs à ce moment là sont des gars avec potentiellement des complexes rêvant d'être super puissant et d'avoir à leur genoux les femmes (meufs de leur point de vue) qu'ils ne peuvent pas avoir en vraie bah voient ces oeuvres comme une retranscription de leurs fantasmes, alors qu'il n'y a réellement rien d'intéressant.
99% des héros d'Isekai sont des mecs cheatés à qui il ne leur arrivera quasiment rien (donc aucun suspense de mise en danger pour lui) ayant un charisme d'huitre puisque son développement repose pratiquement exclusivement sur le fait qu'il est cheaté, 99% des univers Isekai sont calqués les uns sur les autres avec parfois des nuances mais tout ça avec un point commun un background qui tient sur un timbre de poste, 99% auront pour but de fond de maintenir les sens du spectateurs avec le fameux harem inintéressant au possible.
Comme ça a été souligné HEUREUSEMENT un lot de ces spectateurs est en train de murir et l'effet de mode s'efface.
D'ailleurs en effet de mode par le passé on avait eu les fameuses modes des magicals girls, et des animes de sports ^^.
Je vois personnellement quelle est la nouvelle mode qui se met en place, celle des super-héros et des académies
